Global Statistics

Stats COVID-19

Medecine

L’homme associe généralement une maladie à la douleur, à la détresse ou à des problèmes sociaux. Certains comportements déviants, des handicaps, des troubles, des blessures ou des infections peuvent être des signes de maladie. Si certaines maladies guérissent avec le temps, d’autres nécessitent un ensemble de traitements spécifiques. Ainsi, la médecine a pour objet d’étudier, de traiter et de prévenir les maladies pour maintenir la santé globale de l’homme.

Gérer une urgence médicale : les étapes à suivre pour sauver des vies

Une urgence médicale peut survenir à tout moment et nécessite une prise en charge immédiate pour éviter les complications et sauver des vies. Dans...

Pourquoi choisir la Tunisie pour ses facettes dentaires ?

Découvrez pourquoi la Tunisie est devenue une destination de choix pour des soins dentaires esthétiques, et plus particulièrement les facettes dentaires. Les points clés L'excellence...

Comprendre les maladies

La compréhension des maladies ramène systématiquement à la signification des termes santé ou forme physique. Des caractéristiques de son organisme sont mesurables pour savoir si une personne est en bonne santé ou non. Telles peuvent être la température corporelle, la tension artérielle, le pouls, ou encore l’acuité visuelle du patient. Mais la santé implique également son bien-être mental ou émotionnel. Une incapacité de répondre physiquement ou mentalement à certaines contraintes de la vie courante s’associe alors à ces troubles. Néanmoins, à chaque maladie correspond une origine, ou une étiologie (cause), accompagnée de symptômes physiques et émotionnels. On distingue ainsi les maladies auto-immunes, bactériennes, sanguines, cancéreuses, digestives, cardiaques, nerveuses ou neurodégénératives, sexuellement transmissibles ou thyroïdiennes. Elles peuvent être transmissibles ou non transmissibles.

Les différents types de médecine

La médecine est aussi vaste et multiforme que les subtilités du corps humain. Chaque branche de la médecine s’adapte pour répondre aux besoins d’un domaine de soins particuliers. Une vingtaine de spécialités sont reconnues officiellement et forment aujourd’hui la médecine, notamment :
  • Allergie et immunologie : asthme, allergies alimentaire et médicamenteuse, déficience immunitaire et maladie pulmonaire
  • Anesthésiologie : soulagement de la douleur avant, pendant et après la chirurgie
  • Dermatologie : trouble, tumeur, inflammation, infection de la peau
  • Radiologie diagnostique : utilisation des rayons X, ondes sonores, ultrasons en IRM
  • Médecine d’urgence : soins immédiats en situation d’urgence
  • Médecine familiale : soins intégrés et traitement du patient dans son ensemble
  • Médecine interne : soins du cœur, sang, reins, articulations, systèmes digestif, respiratoire et vasculaire, prévention des maladies du bien-être, toxicomanie et santé mentale
  • Génétique médicale : troubles héréditaires, intervention thérapeutique, test cytogénétique, radiologique ou biochimique
  • Neurologie : maladie du cerveau, moelle épinière, nerfs périphériques, muscles, système nerveux autonome et vaisseaux sanguins
  • Médecine nucléaire : utilisation des matières radioactives pour diagnostic et traitement des maladies
  • Obstétrique et gynécologie : système reproducteur féminin et troubles associés
  • Ophtalmologie : soins médicaux et chirurgicaux complets des yeux
  • Pathologie : étude des causes et de la nature des maladies
  • Pédiatrie : diagnostic et traitement des patients, de la petite enfance à l’adolescence
  • Médecine physique et réadaptation : aide aux patients atteints de déficience cérébrale, médullaire, nerveuse, osseuse, articulaire, ligamentaire, musculaire et tendineuse
  • Médecine préventive : prévention des maladies pour la santé et le bien-être des patients, épidémiologie, médecine de l’environnement et du travail, évaluation et la gestion des services de santé et des organismes de santé, toxicologie médicale
  • Psychiatrie : santé mentale et ses ramifications
  • Radio-oncologie : traitement du cancer par radiothérapie à haute énergie
  • Chirurgie : générale, gynécologique, buccale et maxillo-faciale, plastique, neurologique, vasculaire, ophtalmologique, orthopédique, thoracique
  • Urologie : voies urinaires comprenant les reins, uretère, vessie et urètre

Toxicologie et addiction

Les risques d’une intoxication sont nombreux, tant pour un organisme humain que pour l’environnement. Chez l’homme, si certaines intoxications n’entraînent que des troubles digestifs ou des vomissements, d’autres cas peuvent être mortels. La toxicologie permet ainsi d’étudier les effets néfastes d’une substance toxique ou d’un poison chez un patient. Ainsi, la toxicologie est une branche scientifique consacrée à l’étude des substances toxiques susceptibles de nuire à l’organisme humain. Elle traite les cas d’intoxication par voie orale, par inhalation, par voie cutanée ou à travers le placenta. De même, la toxicologie aborde les propriétés chimiques et physiques des toxiques depuis leurs sources. Elle remonte de même aux circonstances qui ont occasionné le contact du patient avec la substance toxique. Cette science participe enfin à la détection des substances toxiques, et à la manière de les combattre (recherche d’un antidote). Si l’intoxication peut être d’origine alimentaire ou médicamenteuse, elle fait également suite à une inhalation de gaz ou de produits industriels toxiques. Les drogues ou les venins d’animaux sont également une source d’intoxication. L’addiction, elle, désigne l’état d’asservissement d’un individu à une substance psychoactive ou une activité personnelle. Il en a contracté l’habitude par un usage plus ou moins répété. Cet usage coutumier et effréné de substances lui est nuisible, avec des conséquences néfastes pour son organisme. Et ce, malgré la connaissance de ses conséquences nocives. Ceci engendre un état de dépendance psychique ou physique. Les addictions les plus courantes concernent des substances peu toxiques (caféine), toxiques (nicotine) ou des drogues dures (héroïne). Parmi les addictions sans substance, seuls les jeux de hasard et d’argent sont cliniquement reconnus comme étant une dépendance comportementale.